mercredi 4 avril 2012

#28 "-It's funny how the colors of the real world only seem really real when you viddy them on the screen."


Ultra-violence, voilà le mot d'ordre pour Alex (Malcolm McDowell) et sa bande sous l'emprise stimulante du lait drogué le moloko+, faisant régner le chaos dans une ville à l'atmosphère futuriste jusqu'à l'incarcération et la mise en cobaye du meneur aux mains de la torture expérimentale et de la vision forcée de montages alliant le choc des images à la douceur de la "Symphonie nº 9" de Ludwig Van Beethoven, chanson jadis préférée de notre héros en proie au lourd paiement de ses actes ainsi que ceux d'une société aspirant à la grandeur quitte à soigner le mal par le mal...


En résumé "A Clockwork Orange" ("Orange Mécanique" de 1971) est un bijou dérangeant, resplendissant d'un sombre éclat et laissant s'installer le malaise avec en fond sonore de la composition classique interprété avec les premiers synthétiseurs, nourrissant l'univers décadant imaginé par Stanley Kubrick afin d'en récolter le fruit défendu à la teinte bizarrement orangée...

2 commentaires:

  1. c'est joliment dit tout ça didont

    ça manque un peu de points quand même, c'est difficile de tout lire en comprenant (il faut penser aux gens qui sont bêtes julien)

    Kubrick c'est le meilleur, la mise en scène d'Orange Mécanique est juste incroyable, même si c'est pas son meilleur (qui est, bien évidemment, Barry Lyndon - j'espère que t'en fera un ptit article bientôt ;o)

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  2. ahah ouais mais j'aime bien résumer un film en une phrase, succinct mais paradoxalement long...

    il est génial Kubrick on est d'accord, par contre le prochain article dessus je sais pas, j'marche au feeling! Barry Lindon j'me l'envoie ce soir allez

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